top of page

MÉLANIE DESTROY - Rock

Don't Break The Mirror (Album) - 10 décembre

Avec un nom de famille comme Destroy, ce groupe de 5 français du nord-ouest océanique, à lʼimage de lʼadolescente imaginaire éponyme, sʼest longuement cherché.

Mélanie débute sa quête personnelle en fuguant un soir dʼété 1994 pour admirer le spectacle hallucinant des flamants roses jouant sur les étangs de Chantilly. 1994, cʼest lʼépoque du stoner rock californien et triomphant de Kyuss et aussi les débuts du trip hop londonien dʼArchive. Alors Mélanie se cherche, hésite mais nʼen choisira aucun pour parti et rester elle-même encore quelques temps.

Si Mélanie Destroy est probablement aussi« effrontée » que Charlotte GAINSBOURG dansle film de Claude MILLER, Mélanie vit aussi ses premiers émois subjuguée par les interprétations envoûtantes quand elle se trouve face à PJ HARVEY.

Cette fascination qui nous invite à la recherche dʼune perfection similaire, Mélanie Destroy y a goûté et en a souffert, des
sensations paranoïaques comme Shirley MANSON les chantait dans GARBAGE. A lʼécoute des titres de Mélanie DESTROY, on comprend que ses doutes exaspérés ont dissimulé une profonde maturité, ses textes
poétiques ou révoltés, son rock ondoyant et versatile qui ne ressemble quʼà elle, Mélanie Destroy lʼintemporelle surprend et requiert du temps pour comprendre.

Tel un un parcours initiatique dans son passé aussi riche que compliqué, le temps de découvrir lʼessentiel et dʼapprécier pleinement toute sa subtilité.

  • Facebook
  • Instagram
  • Spotify

Ils en parlent : ​

" Il est de ces disques dont on ne sait pas par quel bout les prendre tellement chaque morceau semble vivre sa propre histoire. " Rolling Stone

" C’est alors que, encore tout étourdis par tous les souvenirs qu’ont fait remonter à la surface les Normands à travers leur compositions, arrivent les premières mesures du langoureux “I lie to you” sonnant le départ pour un aller simple vers le passé, jusque dans les jardins du château de Chantilly, en 1994, là où tout a commencé. C’est réussi du début à la fin " Longueur d'Ondes

" Un nom qui résonne avec chaos , mal être adolescent et autodestruction. Mélanie Destroy est un quintet français qui se personnifie dans une jeune adulte paumée, perdue dans sa romantisation du mal être et criblée de fêlures. "  La Face B

" Non content d’enchainer les styles avec aisance et talent, la grande force du groupe réside tout autant dans la qualité de leurs paroles profondément sensibles. Fantasme d’une adolescence autodestructrice, ils feraient pâlir d’envie nos Skyblog d’émos. " La Face B 

bottom of page